Un gros pop nous sort de notre envoûtement. J’aide ma salope à se relever. Alors que nous sommes allongés sur le lit l’un à côté de l’autre, Mieke se verse trois coupes de champagne. « À une défloration réussie où, à ma connaissance, nous avons entendu les trois anges chanter. Nous regardons Mieke d’un air interrogateur. Elle sourit. “Oui regarde! Je ne savais même pas que je l’avais en moi. Mais je suis venu… Quand ça t’est arrivé… Une chaude vague d’amour a traversé tout mon corps et a semblé exploser dans une sorte d’éclair derrière mes yeux. Je pense que ma moule a bourré tout l’entrejambe en cuir de ce corset. « Je ne pense pas que je l’ai gardé complètement sec non plus ? « Tu crois cette salope ? Vous venez de passer le gode. C’est une bonne chose que nous ayons mis une couverture étanche à l’humidité sous le drap.” Apparemment, nous avons eu soif dès notre premier tour. Les verres sont bientôt vides et je m’empresse de les remplir.
« Ineke, ma chérie. Comment, avec ton asthme, tu te laisses prendre dans la gorge. Vous savez mieux que quiconque à quel point la détresse peut être effrayante. Elle me regarde excitée et hoche la tête. « Comment terrifiant ; mais aussi comme c’est excité ! Mieke et moi la regardons avec surprise. Elle commence à rougir. « À ma puberté, j’ai remarqué que si je me masturbais alors que j’étais essoufflé, mon orgasme semblait plus intense que sans tiraillement. J’ai alors commencé à expérimenter. Quand j’étais seul à la maison, je prenais la boîte de lessive Tupperware bien fermée dans la buanderie. “Mais la lessive est un ‘cadeau’ pour ton asthme, n’est-ce pas ?” — Oui, Mieke, précisément pour cette raison.
